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voyageadeux
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4 octobre 2012

Un départ c'est déjà une arrivée

Un départ c'est déjà une arrivée. Alors on va se demander pourquoi cette phrase généralisatrice sans grand objectif que de nous faire cogiter devant notre écran, ça nous emmerde, c'est pas ça qu'on rechercher..enfin bref, on répondra a toutes ces critiques qui nous blesse au plus profond de nos âmes: si on ne part pas sans but et que l'on se tape 24h d'avion, soit on est complètement con ou entièrement fou. Enfin comme Margot et moi même sommes un peu des deux, on peut se poser des questions légitimement. Donc pendant notre court séjour de transition à Paris nous ne pensions qu'a notre destination : Auckland (pour les attardés qui auraient oublié), c'est à dire que nous étions à la fois ici et là-ba, ce qui est relativement chiant. C'est pourquoi voulant fusionner notre projection avec la réalité, c'est avec hâte que nous avons pris trajet aller 2l'avion dans l'atmosphère grisâtre et bouchonné. du périph' parisien. L'aéroport, lieu transitoire suprême, nous attendait. C'est un endroit étrange de part l'écoulement du temps qui est à la fois long et rapide,tout le monde se retrouve à patienter, mais l'embarquement arrivtrajet allere vite. Bref, lorsque le grand moment arriva enfin, Margot avec courage et panache... avec appréhension et tensions (vous choisissez celui qui lui correspond le mieux) posa le pied dans NOTRE 737. Je ne décrirais pas notre voyage ennuyeux, fatiguant, douloureux, sale, par peur d'un redondance qui vous fera vivre les mêmes états. Génial ! Petite intermède à Kuala Lampur, ville de tout les folies, ou nous restâmes tranquillement nous et notre petite troupe de passagers, dans un état léthargique avancé. Le deuxième décollage dans la torpeur de la matinée humide fut plus aisé . En effet nous étions plus expérimentés et aussi totalement abrutis par la fatigue, vous, vous dormiez dans un bon lit, ce qui aurait été salutaire pour nous, mais bon l’égoïsme occidental n'est pas nouveau. L'arrivée à Auckland se fit sans problème nous étions tellement bon qu'on nous laissa piloter le Boeing.aeroport aller

Après un contrôle muscléà la douane où Margot et moi avons du faire face à une horde de policiers, nous entrâmes paisiblement par le biais d'un bus fou, dans une Auckland étoilé et solitaire en direction de notre auberge préalablement réservée sur internet pour ceux que les détails intéresse, pour ceux qui voudrait faire la même chose, pour ceux qui aime le bon papier.

 Bon que tirer de tout ceci-cela ? Et bien j'aimerais qu'on se rende compte que même si le voyage fut long et pénible, disons qu'en 24h c'était fait, on était à l'autre bout du monde. Et finalement 24h est-ce si long pour aller aussi loin ? C'est dingue. Notre cher James Cook, premier explorateur de la Nouvelle- Zélande aurait sans doute bien aimé arriver aussi rapidement ce salaud, et non vivre plusieurs mois de traversée accompagnée de disette et dysenterie, amies perfides faisant des ravages chez les hommes. Je voudrais dire aussi que la nourriture Malaisienne n'est pas si mauvaise, un peu épicée, mais pas si mauvaise..alex towerAMAZING!

 

 

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Commentaires
G
ET UNE ARRIVEE C'EST UN NOUVEAU DEPART ??? SI VOUS ETES LIBRES DIMANCHE, ON FAIT DES CREPES...
A
on sent du kerouac dans lecriture, have fun guys
E
Si vous repassez par Paris, bandes de fou, vous êtes les bienvenis dans notre humble demeure.
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